26/04/2014
« Parcours Commando », Alain A. dit Marius, Commando de Montfort, éd. Nimrod
Extraits et photos publiés avec l’aimable autorisation de l’auteur et des éditions Nimrod. Droits réservés.
J’espère que tu vis une vie dont tu es fier.
Si tu ne l’es pas, j’espère que tu auras la force de tout recommencer.
Francis Scott Fitzgerald
« Oui votre Honneur, mon client a mal agi, mon client est un voyou, mais il a des excuses : il a été élevé dans une famille déstructurée, sa mère est dépressive, il habite un HLM dans une banlieue défavorisée, il a de "mauvaises fréquentations". C’est une victime de la société… »
Alain A., dit Marius, aurait pu entendre cette phrase d’avocat, habituelle victimisation du coupable. Et s’il se l’était appropriée, s’il s’était auto-excusé de la vie qu’il menait, se trouvant des "circonstances atténuantes", sans doute sa destinée aurait-elle été toute autre. Mais ce n’est pas cette phrase que Marius a retenue, au moment où il basculait dans une plus grande violence ; c’est celle-ci : « Vous allez droit dans le mur. Je vous donne une chance, saisissez-là ».
« Parcours Commando », c’est cette histoire : celle d’un voyou marseillais qui saisit sa chance, change de vie, rejoint les Commandos Marine dont il devient une figure.
Et grâce aux éditions Nimrod qui, une fois de plus, ont frappé un grand coup [non, nous ne sommes pas actionnaires J], le désormais célèbre béret vert se livre au travers d’un récit très intime, essentiellement tourné vers son enfance, son adolescence errante, puis son adhésion corps et âme à la grande famille des Commandos. On peut imaginer qu’il lui a fallu du courage pour « vider son sac ». Nous savons qu’il a hésité, jusqu’à la dernière minute, avant la publication. Mais finalement, il s’est lancé. Et c’est tant mieux, car l’histoire est belle.
Je pense, je ressasse, je réfléchis et j’imagine. Je m’amuse à faire défiler ma vie comme si je tournais les pages d’un livre. Mes souvenirs, mes actions passées et mes désirs s’entremêlent pour évoquer une histoire qui me fait tantôt sourire, tantôt frémir, tantôt souffrir.
Ces coups que je distribue sont l’expression brutale et sincère de ce que je ressens au fond de moi, comme un ressort tendu à l’extrême qui me brûlerait les entrailles et se détendrait d’un coup sec pour mettre mes poings en branle à la moindre contrariété, au moindre danger. Je sens cette brulure qui me tenaille depuis mon enfance, cette violence qui occupe un espace laissé vacant par le manque d’amour et qui transforme mon visage, m’avertit que je vais frapper sans que je puisse retenir mes coups, sans que je puisse trouver d’autre issue pour résoudre les problèmes. Des millions d’images se bousculent alors dans ma tête et m’aveuglent au point que j’en arrive toujours à cette même extrémité : frapper, frapper et frapper encore avant de me faire frapper. Quand vous n’avez pas d’amour à donner, vous prenez l’habitude de purger votre corps de la rage qui l’habite en frappant.
Le jeune enquêteur me fixe à nouveau, hésitant quelque temps avant de se décider à parler : « Je ne cautionne pas ce qui vient de se passer, mais vous savez à quelle impasse mène la direction que vous êtes en train d’emprunter (…) Je ne suis ni votre père, ni votre avocat et je dis cela sans jugement aucun, mais chacun doit avoir une chance de changer sa vie. Vous avez fait votre service militaire ? Non ? »
Ecole des Fusiliers Marins
Les instructeurs terminent leurs monologues respectifs par une déclaration laconique dont nous ne saisissons pas encore toute la portée : « L’entraînement ne s’arrête jamais ». Je bois ces paroles et je me sens bien. Je vais pouvoir me prouver à moi-même que je suis capable de faire quelque-chose de ma vie, je vais pouvoir m’engouffrer dans cette porte qui s’ouvre devant moi pour saisir ma chance sans tergiverser, ni négocier, ni magouiller.
Photo Emmanuel Donfut / Balao
J’achève mes 50 mètres puis j’effectue un joli plongeon en canard pour aller arracher une poignée de vase au fond de l’océan. Cette vase, que je sens glisser entre mes doigts, m’apparaît à cet instant plus précieuse que tout l’or du monde, plus précieuse que n’importe quel sac de pièces que j’aurais extrait de l’épave d’une frégate corsaire. Je remonte rapidement à la surface en prenant garde qu’elle ne m’échappe pas des mains, puis je nage vers le ponton afin de révéler à l’instructeur mon trésor de boue et de sable à l’odeur d’algues. Je brandis alors mon poing enserrant la vase comme si j’avais décroché la plus belle des victoires.
Stage Commando
Les murs de tôle glacée semblent transpirer la peur de tous les stagiaires qui sont passés par là, en y laissant un peu d’eux-mêmes. La douleur et la peine de ceux qui ont échoué sont presque palpables, mais je devine aussi l’esprit de ceux qui sont allés jusqu’au bout de leur souffrance dans l’humilité, qui ont remporté une victoire sur eux-mêmes dans la tourmente, de ceux dont la joie intérieur qui subsiste en ces lieux agit comme un aimant pour les plus motivés d’entre nous. Mes sens sont d’ailleurs aiguisés comme ceux d’un animal prêt à se lancer dans l’arène.
Nos gestes sont secs, économes, précis et efficaces. La plupart des stagiaires ont développé un instinct animal qui leur permet de faire preuve d’une extrême vigilance, le regard aux aguets, l’ouïe sensible au moindre bruit. Telle une meute de loup en situation d’insécurité permanente, nous avons pris l’habitude de cohabiter et nous avons développé les réflexes nécessaires à notre survie collective. Notre corps s’est transformé en machine prête à réagir au moindre signe d’alerte. Nous avons adopté de nouvelles attitudes et nous analysons tout ce qui nous entoure, sur le qui-vive en permanence.
A peine ai-je le temps de jeter un coup d’œil à mes camarades dont je suis aujourd’hui le chef d’équipe, que nous commençons à nous mettre à l’eau. Encore une fois, nous procédons de la manière la plus discrète possible. Pas de plouf comme à la piscine, mais une lente immersion qui provoque comme une interminable décharge électrique dans tous le corps. L’eau glaciale paralyse rapidement tous mes membres et raidit ma nuque jusqu’à la transformer en barre de fer. Pour lutter contre ce phénomène, j’immerge deux fois ma tête sous l’eau les yeux ouverts, distinguant les jambes de mes compagnons qui battent dans l’eau comme si je regardais un film flou aux teintes verdâtres.
Les stagiaires que nous sommes se sont métamorphosés. Nos visages, plus marqués qu’avant, ne sont plus les mêmes. Un regard ou un geste suffit pour communiquer entre nous. Nous ne nous parlons pas beaucoup, mais nous nous comprenons très vite. Nous partageons les mêmes objectifs et avançons dans la même direction. Efforts et réflexions individuelles sont mis au service de la collectivité.
Le discours du commandant terminé, le maître de cours s’avance pour saisir la dague gravée dont la lame, bien protégée dans son fourreau, attend son récipiendaire. Il est accompagné de Léon Gautier, vétéran du débarquement du 6 juin 1944 et président de l’Amicale des Commandos français, qui tient dans ses mains le brevet portant le badge 6490. Les deux hommes se tiennent devant nous, immobiles et impassibles, dans l’attente que le commandant de l’école, droit et solennel derrière son pupitre, annonce l’identité du major de stage. « Major de stage commando 59, matelot Alain A. sortez des rangs ! ».
Cette annonce résonne en moi comme un coup de tonnerre (…) Je pense à mon père qui n’est plus de ce monde. Je pense à tous ces gens qui m’ont toujours considéré comme un cancre et un bon à rien. Je pense à mes anciens camarades, à mon ancienne vie, à ce qui m’attend. Je pense à mille choses toutes différentes les unes des autres sans véritablement réaliser ce qui m’arrive. Mon corps est parcouru de frissons, des larmes qu’il me faut absolument contenir me montent aux yeux et je déborde de fierté tout en essayant de n’en rien montrer. Enfin, je sors des rangs comme un automate afin que Léon Gautier [Commando Kieffer, vétéran du Débarquement] puisse me coiffer du green beret.
Marius poursuit son autobiographie au-delà de ce moment si symbolique qu’a été la remise de son brevet et de son béret vert, mais il reste discret sur ses missions au sein du commando de Montfort qu’il a rejoint. Ceci nous vaut cependant des anecdotes savoureuses : bas-fonds de Djibouti, bataille rangée dans un restaurant de Venise, rôle d’instructeur Commando (la boucle est bouclée), genèse du film « Forces Spéciales »…
Mais l’essentiel de son récit est bien dans sa rédemption et sa découverte de lui-même au sein de la Marine.
Est-ce que tout était écrit pour que le voyou marseillais soit trouvé un matin sur un parking, le corps criblé de balles, comme ce fût le cas pour un de ses camarades de perdition ? Est-ce que la chance a « contrarié » un destin écrit d’avance ? Si c’est le cas, cette chance s’est manifestée souvent : rencontre avec un policier bienveillant, rencontre avec une femme, rencontre avec les Commandos Marine...
La chance a bon dos. Aide-toi, le Ciel t’aidera.
Il n’y a pas de destin.
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Alain A. dit Marius est né dans un milieu modeste de la région marseillaise, élevé dans un contexte familial « compliqué ». Après une adolescence faite d’errance et de larcins, doublé d’un caractère violent, tous les éléments sont réunis pour que Marius s’enfonce dans la grande délinquance. En 1984, à l’issue d’un énième forfait, une rencontre salutaire avec un inspecteur de Police éclairé change la donne : Marius rejoint l’école des Fusiliers Marins de Lorient, puis le stage Commando dont il sort major. Affecté au Commando de Montfort, il est déployé notamment au Liban, à Djibouti, en Côte d’Ivoire. Il termine sa carrière comme instructeur à l’école des Bérets Verts. Il quitte la Marine en 2006 pour poursuivre une carrière dans la sécurité. En 2011, il est repéré par le réalisateur Stéphane Rybojad qui lui confie un rôle dans son film « Forces Spéciales », aux côtés notamment de Diane Kruger, Benoît Magimel, Tchéky Karyo…
Marius est marié à Nolwenn à laquelle il rend un vibrant hommage dans le livre et fier papa de Yoann, Maxime et Lukas.
Marius et Nolwenn au Cercle National des Armées - Photo © Natachenka
Je dois tout à ma femme, qui m’accompagne aujourd’hui encore et qui n’a jamais cessé de m’aimer, qui a su garder toute son énergie pour vivre auprès d’un forban capable d’inventer mille raisons pour camoufler son hyperactivité qui le brûlait de l’intérieur comme un feu dévorant.
Page FaceBook officielle de Marius ici.
Rencontres avec Marius – Cercle National des Armées, Soirée des Editions Nimrod, Salon du Livre 2014
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Prix : 21 € - ISBN 978-2915243550 - format 22,8x15 – 384 pages - Cahier photo couleur
Aux éditions Nimrod
Livre disponible ici.
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DVD Forces Spéciales
Forces Spéciales, notes de production et sources d'inspiration : Le livre du film de Stéphane Rybojad
Prix 34,90€ - ISBN 978-2915243420 – Format 30,2x24,4 – 144 pages
Aux éditions Nimrod – Disponible ici.
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Portez l’esprit Marius !
Motivex & Moraline est une nouvelle marque de vêtements inspirée par le parcours et les valeurs de Marius. En collaboration avec Nimrod. Site de vente ici.
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Bibliothèque « Commandos Marine et Fusiliers Marins »
(non exhaustif)
A paraître en mai : "Le commando Kieffer - Les 177 Français du D-Day" par Jean-Marc Tanguy. Editions Albin Michel en collaboration avec le Ministère de la Défense. Disponible ici.
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Hommage
© Chemin de Mémoire Parachutiste
Aux Commandos Marine morts pour la France en Afghanistan :
Maître-Principal Loïc Le Page, Commando Trepel,
Maître-Principal Frédéric Paré, Infirmier Fusilier-Commando,
Second-Maître Jonathan Lefort, Commando Trepel,
Second-Maître Benjamin Bourdet, Commando Jaubert,
Aux Commandos Marine et Fusiliers Marins morts pour la France, morts en service commandé,
Aux blessés.
"A lui l'immortalité, à nous le souvenir, car tant que nous honorerons sa mémoire, son sacrifice aura un sens et il continuera à vivre intensément en nous"
Général de corps d’armée Maurice Le Page, aux obsèques de son fils le MP Loïc Le Page.
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Marius remet le béret vert à l’occasion du stage Commando 123. Partant du principe que réussir le stage est un honneur, quel que soit le rang de sortie, il a choisi de remettre en personne, en tant que maître de stage, le béret vert au stagiaire classé dernier.
Je reste persuadé que l’homme, quelles que soient son éducation, son origine ou ses racines, garde toujours en lui une étincelle qui peut lui permettre de changer et d’évoluer dans le droit chemin. Pour y parvenir, pour transformer cette étincelle en flamme, il lui faut cependant l’entretenir et la stimuler, avoir le désir, l’envie et la volonté de changer, mais aussi le courage d’affronter le regard des autres et d’écouter les conseils qu’ils peuvent vous donner. Bien des hommes se murent dans leurs certitudes privant cette étincelle de la moindre molécule d’oxygène et l’amenant ainsi à s’éteindre définitivement.
Marius
11:55 Publié dans Fusiliers, Commandos Marine, Mili-Livre | Lien permanent | Commentaires (27)
Commentaires
Que dire devant tant de vérités !
Et au-delà des écrits, la réflexion du sens de vie explose dans tous les sens...
L'exemple devrait être au rang des écoles aujourd'hui.
Aussi, la vie similaire vécue d'une autre façon m'a désarçonnée.
Marius, ce serait une fierté que de serrer ta main.
Écrit par : philippe | 08/10/2014
Merci Philippe. Nous avons fait suivre au camarade Marius.
Écrit par : UPpL'E | 10/10/2014
PAS GRAND CHOSE A AJOUTER UN EXEMPLE CE MARIUS DROITURE HUMILITE . CONVAINCU DEPUIS LONGTEMPS SES ANALYSES SUR LE COMPORTEMENT HUMAIN SON CRIANTE DE VERITE JE SUIS FAN DE MARIUS...IL ME FAIT REGRETTER DE NE PAS AVOIR ESSAYER D INCORPORER LE STAGE A L EPOQUE OU J ETAIS APPELE JE FAISAIS MES CLASSES DANS L ANTRE DES FUSILLERS MARINS ET COMMANDOS MARINE J Y PENSE CONSTAMMENT JE REGARDE REGULIEREMENT SES VIDEOS ET PLUS RECEMMENT LE FILM FORCES SPECIALES . JE VAIS ACHETER LE LIVRE MAIS LE NEC PLUS ULTRA SERAIT D AVOIR UNE DEDICACE RESPECT MONSIEUR MARIUS
Écrit par : patrick berthe | 26/12/2014
Merci pour votre commentaire Patrick. Nous le faisons suivre au camarade Marius mais vous pouvez le contacter directement via sa page FB : https://www.facebook.com/marius.combat?fref=ts
Écrit par : UPpL'E | 27/12/2014
moi depuis 4 ans je me prépare pour le stage commando.
je veux être un commando Hubert et le livre de Marius m'aide vraiment a continué. en plus mon cousin a été commando marine chez les commando trépel. j'ai une très grand esprit patriotique car dans la famille on est militaire de père en fils. mes deux frère son dans la marine l'un est fusilier marin et l'autre est pilote de chasse sur le porte avion Charles de Guaule et mon père est officier de marine.
VIVE LA MARINE, VIVE LES COMMANDOS ET VIVE LA FRANCE
Écrit par : Amaury Lechat | 11/03/2016
j'ai oublier de dire que je suis vraiment très admirative de Marius et je dit que son bouquin est supers. moi aussi j'ai habité a Marseille et je sais que ce n'est pas simple pour tout le monde.
ce serrez pour moi un très grand honneur de pouvoir conversé ne serrez qu'une petite minute avec Marius car j'aurais 10 000 question a lui posé sur les commandos.
merci Marius pour tout ce que vous avez fait pour notre beau pays.
Écrit par : Amaury Lechat | 11/03/2016
Voici une belle vocation Amaury ! Marius est un très chic type et tout à fait accessible. Il sera au Salon du Livre de Paris le samedi 19 mars, sur le stand Défense (15h-17h) et chez Cultura à Aubagne le 26/3 (14h-16h). Si tu veux connaître les futures possibilités de rencontre, rejoins notre page FaceBook, on fait toujours suivre ce type d'info. https://www.facebook.com/Litt%C3%A9rature-Militaire-Blog-La-Plume-LEp%C3%A9e-499513903419411/?ref=hl
Écrit par : UPpL'E | 11/03/2016
Bonjour,j'aurai aimé savoir si Marius organiserai une nouvelle rencontre ou séance dédicace.Et si non est-ce que ce serait possible de le rencontrer.J'aimerais le rencontrer pour qu'il m'aide a mieux comprendre le métier de militaire haut gr&dé car j'admire cette homme.
Personne n'a un parcours plus exemplaire que Marius de sa jeunesse au poste de Major du stage commando.
Le livre de Marius nous apprend beaucoup sur sa vie et son parcours il me fait aussi apprendre des choses.
Écrit par : Théo.lopez | 04/04/2016
Pour le moment pas de dates planifiées pour des rencontres, mais il y en aura. Marius aime échanger avec le public. Il sera probablement présent au salon des écrivains soldats à Nice le 8 octobre.
Écrit par : UPpL'E | 04/04/2016
Bonjour,
Une autre question Marius sera-t-il a un des (entrainements) du groupe 9,si oui lequel et de quelle a heure a quelle heure.
Écrit par : Théo.lopez | 05/04/2016
Bonjour Théo. Tu peux contacter directement Marius via :
https://www.facebook.com/marius.combat/
Écrit par : UPpL'E | 05/04/2016
Un grand respect, une source d'inspiration et j'en passe.
Tous mzs respect a M.Marius, vous serrer la main serait un grand honneur.
Écrit par : arif | 27/04/2016
Pour suivre l'actualité de Marius, et avoir la possibilité d'échanger avec lui, suivez sa page FaceBook : https://www.facebook.com/marius.combat/?fref=ts
Écrit par : UPpL'E | 03/05/2016
Très belle résilience aussi généreuse aussi humaine qu'altruiste ! En espérant qu'elle aura adouci votre ancienne (?) et profonde dualité...
Bravo à vous courageux Marius-Alain pour avoir saisi cette chance si rare et merci pour vos conseils et vos encouragements !
Écrit par : LN2016 | 27/07/2016
Merci pour votre commentaire ; nous l'avons fait suivre à Marius.
Écrit par : UPpL'E | 27/07/2016
Bonjour, je viens de visionner un reportage sur les commandos marine. Ma petite-fille entre à l'école des Mousses. Ce MARIUS est impressionnant ! Et quand il dit à la fin du reportage :
"ce sont mes enfants ! Il y a de l'Amour dans tout ça ! "
Chapeau bas Monsieur, des gens comme vous, Bigeard ou Tabarly, vous êtes mes modèles, surtout en cette époque difficile...
Cordialement
Michel ACKET
(60 ans)
Écrit par : ACKET | 19/09/2016
Merci pour votre commentaire. Nous le faisons suivre à Marius.
Écrit par : UPpL'E | 06/11/2016
Merci pour votre commentaire. Nous le faisons suivre à Marius.
Écrit par : UPpL'E | 06/11/2016
Bonjour Marius j espère que tu vas bien ainsi que ta famille j ai vu ton reportage ainsi que ton livre que je n arrête pas de lire tellement passionnant dommage pour moi que je exempté du service militaire cause santé sinon j aurait fait le stage dommage qu'il n'y a plus de service militaire bonne continuation .
Écrit par : foucart | 05/11/2016
Bonjour j ai un neveu qui gendarme adjoint il a signé pour 3 ans pour devenir genda gendarme de carrière en attendant de passer son concour il m'a demandé si il fallait être fusillé marin pour passer le stage commando pour devenir après devenir béret vert merci de me répondre un admirateur.
Écrit par : foucart | 10/11/2016
Merci pour votre intérêt. Concernant les fusiliers marins/commandos Marine, voir ici par exemple : http://www.soldat-metier.com/forces-speciales/1896-devenir-fusilier-marin-commando-video.html
Bien cordialement.
Écrit par : UPpL'E | 10/11/2016
Bonjour
Je suis Marius sur les réseaux sociaux et le 7 janvier un stage d'aguerrissement est organisé a Simiane.Marius est pour moi une légende un exemple a suivre j'aurai aimé savoir si ont pouvaient rencontrer Marius sans participer au stage?
Merci d'avance.
Écrit par : Théo | 17/11/2016
Bonjour Théo. Marius fait à l'occasion des dédicaces. Il faut suivre son actualité sur sa page FaceBook : https://www.facebook.com/marius.combat/?hc_ref=NEWSFEED
Écrit par : UPpL'E | 17/11/2016
J ai une grande admiration pour Alain dit Marius car il a eu beaucoup de courage surtout avec la vie qu il a mené dans sa jeunesse j ai toujours voulu faire une carrière comme commando mais ma vie a été autrement je me suis engagé dans les sapeurs pompiers de Paris d ou je me suis épanoui dont j ai fait ma carrière encore bravo Marius serait un plaisir de vous voir je ferais tout pour avoir votre livre vous concernant et également les commandos de marine
Écrit par : Quertier Dominique | 18/01/2017
Merci pour votre commentaire Dominique, que nous faisons suivre à Marius. Hommage aux pompiers de Paris et à tous les sapeurs-pompiers, y compris volontaires ! On espère un livre témoignage un jour, que nous aborderons avec plaisir.
Écrit par : UPpL'E | 18/01/2017
Je viens de finir "Marius parcours commando" un vrai régal, que du bonheur, une leçon de vie et de courage , mais aussi beaucoup d'humilité.
Du coup, j'ai regardé "Forces Spéciales " pour la quatrième fois ( on ne se refait pas à 60 ans) ;).
Bravo et merci , Marius .
Écrit par : Charlie | 24/03/2017
Merci pour votre commentaire. Nous avons justement croisé Marius au Salon du Livre samedi dernier :)
Écrit par : UPpL'E | 28/03/2017
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