24/11/2013
« Récits d’un homme de guerre », Michel Delcayre, 1er RIC, Bataillon de Corée, GM100, 6e RTS, 5e RIAOM, 23e RIMa , 2e RIMa, 1er RIMa. Editions des Cimes
Extraits et photos publiés avec l’aimable autorisation de l’auteur. Tous droits réservés.
La jeunesse n’est pas une période de la vie, elle est un état d’esprit. Un effort de la volonté, une intensité émotive, une victoire du courage sur la timidité, du goût de l’aventure sur l’amour du confort.
On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années. On devient vieux parce qu’on a déserté un idéal.
Les années rident la peau, renoncer à la jeunesse ride l’âme.
Les préoccupations, les doutes, les craintes et désespoirs sont les ennemis qui lentement nous font pencher vers la terre, et devenir poussière avant la mort.
Jeune est celui qui s’étonne et s’émerveille. Il demande comme l’enfant insatiable : et après ? Il défie les événements et trouve de la joie au jeu de la vie.
Si un jour notre corps allait être mordu par le pessimisme et rongé par le cynisme, puisse Dieu avoir pitié de notre âme de vieillard.
« La jeunesse », Général McArthur.
« J’aime le métier des armes. J’aime l’odeur de la poudre et entendre le fracas des armes, des batailles.
Je suis un homme de guerre. »
Michel Delcayre
Nous recevons régulièrement des messages d’auteurs nous présentant leur livre nouvellement paru. Nous en sommes toujours heureux et flattés. Notre première démarche, alors, est de nous renseigner sur l’ouvrage, la personne, le sujet traité. L’auteur est-il militaire, journaliste ? S’agit-il d’un récit biographique, d’un roman, d’un sujet historique ?
Lorsque j’ai ouvert le mail du fils de Michel Delcayre, titré « Récits d’un homme de guerre », des mots m’ont immédiatement sauté au visage : mon père Marsouin… vétéran d’Indochine… Bataillon de Corée… Algérie… Sympathisant OAS… Je ne sais si cela vous intéresse…
Réponse "au pas Chasseur", dans les 2 secondes donc : « Et comment ! »
Ainsi a débuté une nouvelle belle rencontre, des échanges humains sympathiques, et par-dessus tout l’impression d’avoir touché du doigt, au travers d’un homme, l’histoire de l’armée française, dans sa grandeur, mais aussi dans la tristesse du crépuscule d’un empire.
Michel Delcayre, un morceau d’histoire. Rien de moins que cela.
1949-1950, 1er RIC, Indochine
1951, Indochine, poste de Tenja – Michel en haut à droite, cigarette et képi.
Le 17 octobre 1950, alors qu’aucun renseignement tangible ne laisse penser qu’un danger plane sur la ville, le Colonel fait évacuer Lang Son. L’affolement est tel que, pour ne pas éveiller les soupçons de l’ennemi, le Colonel donne l’ordre de n’effectuer aucune destruction des stocks jusqu’à l’évacuation complète de la ville. On a donc quitté la haute région par Lang Son. On a suivi les ordres en évacuant en catastrophe, alors qu’il n’y avait pas lieu. On s’est tiré comme des poltrons. Le Colonel, sous Napoléon, aurait été fusillé. (…)
Pourquoi avoir lâché Lang Son ? Contrairement à Cao Bang, Lang Son n’était pas encerclé, à ma connaissance de 2e Classe, à l’époque.
C’est maintenant que je réfléchis à tout ça. Quand on est 2e Classe, avec les supplétifs [troupes indochinoises], « Chercher à comprendre, c’est commencer à désobéir ». Mais j’ai désobéi après, parce que j’ai compris.
1950-1953, Bataillon français de l'ONU en Corée, 23rd Regiment, 2nd Infantry Division "Indian Head"
1954, départ de Michel en Corée, sur « La Marseillaise »
Nous avons repris le bateau pour débarquer dans le port de Pusan, le 9 mars 1953. J’ai fêté mes 22 ans sur un navire de guerre américain. Nous prîmes le train, direction Séoul. Notre bataillon était en ligne depuis quelques 3 semaines. Il faisait entre -25 et -30°C. La guerre de mouvement était terminée. Nous étions en position dans les tranchées humides et froides, décor de tout mon séjour en Corée. Après 2 ou 3 semaines en première ligne, où il fallait casser la glace pour se laver la figure, en négligeant un peu le reste, on descendait en deuxième ligne, où on pouvait prendre une douche.
1953-1954, GM100, Indochine
1954, Indochine, Michel à droite avec deux camarades du GM100
Nous nous sommes retrouvés à Pleiku où opérait un régiment de montagnards, quelques pièces d’artillerie et deux ou trois avions. A quelques kilomètres de là, des plantations de théiers, toujours en exploitation. Une plantation de thé représente un des lieux les plus détestables pour mener un combat organisé. Les arbustes touffus arrivent pour la plupart à hauteur de poitrine d’un homme de taille moyenne. Il était de notoriété publique, les planteurs eux-mêmes le reconnaissaient à demi-mot, que les viets transitaient au travers de théiers pendant la nuit pour déplacer leurs unités ou transporter leur matériel et leur nourriture. Menant une opération, sur renseignement, nous sommes tombés sur deux compagnies Vietminh. Les combats ont été durs, nous avons eu quelques morts et plusieurs blessés. Les viets ont détalé, repoussés par la vigueur de notre unité. L’ennemi essuie au passage un sacré revers, laissant sur le terrain une soixantaine de morts.
Le GM100 reçoit l’ordre de rejoindre la bretelle de Pleirin le 19 mars en détachement armé, vers la région de Do Dak Bot au Tonkin (…) Les viets sont beaucoup plus nombreux que nous. Le rapport de forces est de 3 contre 1. Au cours de l’attaque du bivouac, le capitaine est tué. Il est remplacé par un Caporal-Chef… je me retrouve chef de section (…) Notre compagnie ou ce qu’il en reste se bat avec bravoure ; je suis au fusil-mitrailleur, déblayant tout devant moi. Je crible les fourrés autant que je peux. J’abats les tireurs embusqués qui viennent aussi de derrière.
Embuscade du PK15, 24 juin 1954. Tout le convoi de véhicules, chars, artillerie, est tombé dans une grosse embuscade. L’état-major du GM100 est anéanti (…) près de 1000 morts ou disparus en 3 heures de combat (…) Dans la nuit, nous, 1er bataillon, avons évacué An Khé en évitant la route, en la débordant par la jungle tout autour. Les viets étaient partout.
1955-1957, 6e RTS, Maroc, Algérie
1955, le 6e RTS au Maroc, Michel au 1er rang, 1er à gauche de la photo
Nous traversons le Moyen-Atlas pour chasser les fellouzes Oulmes sur les pistes. De Mécheria, nous faisons les ouvertures de route. Sergent, je commande un peloton de half-track (…) Nous pointons en direction du sud, vers Aïn Sefra sur la frontière maroco-algérienne. Cette frontière n’en a que le nom. Pas de mur ni de piquet. Du sable, toujours du sable. Nous protégeons la zone des infiltrations du FLN sur des centaines de kilomètres (…) Constamment sur la brèche, à pied à la recherche des fellouzes, nous montons de belles embuscades.
1958-1960, 5e RIAOM, AOF, AEF (Mali, Cameroun)
Michel en 1960, au Cameroun
Nous étions, quelque part, des mercenaires à la solde de la république de Douala (Cameroun). Nous combattions les Bamilékés qui avaient soif d’indépendance. Chez eux, le plan n’existait pas ! Ces mecs-là, bille en tête, fonçaient voir le grand marabout. Les cerveaux envoûtés de palabres nauséabondes : pas de problème, les balles, forcément, ricocheraient sur eux. Avant l’assaut ils ne se gonflaient pas à l’opium mais au vin de palme. Ce breuvage les mettait dans un état de folie pure. La mort ils ne l’envisageaient même pas. Armés de sagaies et de coupe-coupes, ils partaient par centaines au baroud. Ces grappes humaines venaient tomber sous les balles de nos mitrailleurs AA52. C’est triste à dire, mais c’était eux ou nous.
1961-1963 – 23e RIMa, OAS, Algérie
1961-62, Algérie, Michel alors au Commando Capdeville, avec le LTN Poupineau
Le cessez-le-feu approchant, nous avons quitté Affreville. Le Commando Capdeville a été regroupé, puis dirigé vers Alger pour la sécuriser. On appelait ça « Intervention Chicago ». Ça voulait dire que dès qu’il y avait un attentat, nous établissions partout des barrages pour tâcher d’intercepter les « malfaiteurs », nos camarades de l’OAS. Que nous aidions à filer au lieu de les arrêter. S’il s’agissait de terroristes fellaghas, nous avions le remède tout prêt. (…) On voyait bien que c’était la fin des haricots. De Gaulle avait déjà trahi la France, vendu l’Algérie aux felles. Moi, j’étais encore à fond avec l’O.A.S. D’abord, j’étais dégouté depuis l’Indochine, depuis qu’on avait abandonné les Thau, les Nung, tous massacrés par les communistes. Et en Algérie, rebelote ! On laisse tomber les harkis, leurs familles…
1963-1964, 2e RIMa, camp d’Auvours
1964, Michel lors d’une manœuvre de débarquement à Quiberon
A Auvours, le fossé entre engagés et une minorité d’appelés devenait béant. Ces derniers, jouant les « pauvres victimes » de nos « mauvais traitements », faisaient marcher leurs relations, appelant à l’aide leur papa ou un tonton haut placé, sortant leur plus belle plume pour se plaindre au ‘pitaine, voire plus haut (…) Travailler dans ces conditions m’insupportait au plus haut point.
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Dans le cœur de Michel, quelque-chose s’est brisé. Ce n’est pas un homme de compromis - on l’aura compris - il quitte donc l’armée en 1965. Un temps tenté par l’aventure mercenaire de Bob Denard, il fera finalement ses adieux aux armes.
« Récits d’un homme de guerre » ne s’interrompt pas pour autant. Nous suivons pour quelques chapitres encore le Marsouin dans sa nouvelle vie civile, sillonnant l’Europe au volant de son camion, s’engageant activement en politique à Dreux, aux côtés du couple Stirbois.
Bien entendu, avec un tel parcours, on entend en écho des « Hélie de Saint-Marc » et des « Pierre Sergent ». Mais Michel ne revendique pas les honneurs d’un prix littéraire (dont, j'en suis certain, il se « contrefoutrait ») (il emploierait certainement cette formule…). De plus, n’ayant pas tenu de journal de marche, ses souvenirs de premières campagnes sont forcément fragmentaires.
Reste que son témoignage est passionnant, complété intelligemment par des parties historiques le mettant bien en perspective.
Saluons enfin l’honnêteté de Michel, assumant totalement ses choix. Il n'est pas question ici d'apporter un jugement sur ses engagements, mais que vaudrait un récit biographique "politiquement correct", édulcoré ? Quel en serait l’intérêt ? Comme me l’a dit son fils Philippe : après tout, c’est sa vie.
Juillet 2005, retour en Corée.
2010, Michel Delcayre reçoit la médaille de la Paix par l'ambassadeur de Corée, Hôtel des Invalides.
En 2005, le gouvernement Sud-Coréen invite des vétérans du Bataillon de Corée à Séoul. Belle initiative de notre allié asiatique, qui n’a pas oublié ces Français (et tous les autres) qui se sont battus à leur côté pour leur liberté.
"Nous avons trinqué à nos hôtes, à nous aussi les vétérans. Je retiens du peuple coréen qu’il est un beau peuple plein de reconnaissance (je le savais déjà), rempli de joie de vivre. Il nous a accueillis comme faisant partie de sa famille, sincère, chaleureux.
Prenez-en de la graine, peuple de France."
Insigne de la 2nd Infantry Division "Indian Head" porté par le Bataillon français de l'ONU en Corée, conservé en Indochine.
287 tués dont 18 Coréens - 7 disparus - 1 350 blessés.
Rendons hommage à ces hommes. Ne les oublions pas.
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Michel Delcayre est né en 1931. Poussé par son goût de l’aventure, il s’engage en 1949 dans les troupes Coloniales. Marsouin pour la vie, il participe à l’ensemble des « opérations extérieures » des années 50 et 60, avec les 1er RIC, Bataillon de Corée/GM100, 6e RTS, 5e RIAOM, 23e RIMa , 2e RIMa et 1er RIMa : Indochine (2 campagnes), Corée, Maroc, AEF, Algérie...
Dans les dernières années de la guerre d’Algérie, dans un esprit « à la Hélie de Saint-Marc », refusant l'abandon des Harkis, il soutient le « putsch » des Généraux puis l’OAS. Il quitte l’armée en 1965 et sillonne dès lors l’Europe comme chauffeur routier, tout en s’engageant politiquement à Dreux, ville où il réside toujours.
Michel Delcayre est titulaire des Médaille Militaire, Croix de Guerre des Territoires Extérieurs, Médailles commémoratives Indochine, Corée, Médaille du Maintien de l’Ordre Maroc, Algérie, Médaille Coloniale Extrême-Orient, Médaille des Nations-Unies Guerre de Corée, Combat Infantry Badge (USA), Médaille des Combattants de la Paix (Corée du Sud).
Il a été soutenu dans son projet d’écriture par son fils Philippe, ancien Marsouin lui-même, EVSOM (Engagé Volontaire pour Servir Outre-Mer), 23e BIMa, Sénégal.
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Prix : 18€ - EAN : 9791091058063 - Format 24x15, 176 pages + cahier photos
Aux Editions des Cimes
Disponible en contactant Philippe Delcayre ici. [dédicace possible]
Page FaceBook "Récits d'un homme de guerre" ici.
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1955, Maroc, Michel Delcayre est décoré de la Médaille Militaire
Hommage
Aux morts pour la France en Indochine,
Aux morts pour la France en Corée,
Aux morts pour la France en Algérie,
Aux morts pour la France dans tous les T.O.E,
Aux blessés.
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1950, Michel à droite, sur la RC4.
Le 4 octobre dernier le général vietminh Võ Nguyên Giáp, vainqueur de Dien Bien Phu, disparaissait.
Le ministre français des affaires étrangères lui a rendu un vibrant hommage :
Je salue aujourd’hui la mémoire d’un homme exceptionnel et présente mes profondes condoléances à sa famille (…) Le général Giáp fut un grand patriote et un grand soldat.
Même si nous nous réjouissons de la réconciliation franco-vietnamienne, n'oublions pas :
Taux de mortalité des prisonniers de guerre
source : Wikipedia
Prisonniers français morts en Allemagne : 2%
Prisonniers allemands morts en Russie : 37%
Prisonniers russes morts en Allemagne : 57,5%
Prisonniers français morts dans les camps Vietminh 59,9%
Prisonniers de Dien Bien Phu , morts en 4 mois de captivité dans les camps Vietminh : 7 801 sur 11 721, soit 72% .
A la mémoire de tous ces prisonniers français en Indochine, traités par le Général Giáp et le Vietminh avec la pire des cruautés.
Nous saluons aujourd’hui la mémoire de ces hommes exceptionnels et présentons nos profondes condoléances à leurs familles. Ils furent de grands patriotes et de grands soldats.
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1962, les Harkis du Commando de Michel Delcayre.
A la mémoire de nos frères Harkis, sacrifiés par la France, traités par le FLN algérien avec la pire des cruautés.
Nous saluons aujourd’hui la mémoire de ces hommes exceptionnels et présentons nos profondes condoléances à leurs familles. Ils furent de grands patriotes et de grands soldats.
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2013, Michel et le COL Paczka, chef de corps du 2e RIMa, photo © Philippe Delcayre
- Citations -
"Jeune soldat courageux et décidé. Tireur de Fusil-Mitrailleur. S’est révélé à plusieurs reprises un combattant d’élite. Le 8 juillet 1950 dans le massif de Bao Daï (Tonkin), près de Dong Song, a neutralisé par son feu précis un poste rebelle, permettant la prise de 5 fusils. Le 15 juillet à Quai Song, s’est porté résolument à l’attaque d’une crête fortement tenue par l’adversaire. Le 29 juillet, a été magnifique de sang-froid, lors de l’opération de Kep (Tonkin) récupérant au lever du jour, par un coup d’audace 6 fusils au hameau de Ho Tong. Citation à l’ordre du régiment avec attribution de la Croix de Guerre TOE avec étoile de bronze."
"Au cours d’une opération dans la région de Tri Yen (Tonkin) le 12.1.1952 s’est accroché au terrain sous le feu concentré d’armes automatiques et de mortiers rebelles. Citation à l’ordre de la Brigade par le Général Salan."
"Chef de groupe confirmé toujours volontaire pour les missions dangereuses. S’est distingué à plusieurs reprises au cours des opérations dans les secteurs de Mani et Kumhwa (Corée). Le 17 juillet 1953 en particulier a participé à une embuscade dont les éléments étaient pris sous un violent tir de mortiers ennemis. A protégé avec son groupe des éléments amis qui comptaient un tué et trois blessés. Citation à l’ordre du régiment."
"A pu dégager son Commandant de compagnie grièvement blessé et le faire évacuer. Resté le gradé le plus élevé de la Cie, il a regroupé les survivants, effectué des contre-attaques pour récupérer les blessés et a décroché ce qui restait de la 4e Cie en organisant le combat retardateur jusqu’à l’arrivée de la nuit. Il est juste de dire que c’est le CCH Michel Delcayre qui a sauvé la 4e Cie du 1/Corée d’un anéantissement total. Combat entre PK17 et PK11, 1954, Indochine."
"Chef de groupe d’une bravoure au-dessus de tout éloge. A de nouveau fait l’admiration de tous le 24.2.1954 à la [Plantation Indochinoise de Thé, Pleiku] où faisant fonction de sous-officier adjoint d’une section de contre-attaque, tandis qu’un adversaire estimé à plus d’une Cie donnait l’assaut dans les théiers, il n’a pas hésité, pour accroître le rendement de ses tirs, à prendre lui-même un fusil mitrailleur avec lequel, tirant debout, malgré un feu intense, il a abattu plusieurs rebelles dont un tireur de fusil mitrailleur. Citation à l’ordre du corps d’armée par le Général Navarre."
Michel Delcayre, 1950 et 2010
Avec le salut fraternel du Chasseur et de la Russe-blanc aux anciens d'Indochine, de Corée, d'Algérie et de tous les T.O.E.
Récit biographique de soldat, guerre d'Indochine, guerre de Corée, guerre d'Algérie, OAS.
11:10 Publié dans Algérie, Corée, Indochine, Marsouins, Bigors, Mili-Livre | Lien permanent | Commentaires (9)
Commentaires
J'étais un des rares appelé sergent à l'ERA du 23ème RIMA et libéré en mars 1962.
Donc en relation constante avec le commando dirigé par l'adjudant RENZI.
Le 23ème RIMA était basé à cette époque à MILIANA et non pas AFFREVILLE.
Amicalement.
Écrit par : CHAVANE Yann | 07/04/2014
Merci Yann pour la précision. Michel n'ayant pas tenu de journal de marche, peut-être une petite confusion de lieu dans sa mémoire.
Écrit par : UPpL'E | 07/04/2014
J'ai eu l'adjudant RENZI comme patron au com capdeville.
J'ai retrouvé sur un site Halter,secrétaire radio au bureau du capitaine Dagostini et du Lt Fillipi.Aplus pour d'autres nouvelles
Écrit par : a;ritter | 01/08/2014
Merci pour votre commentaire. Nous le faisons suivre à Michel Delcayre.
Écrit par : UPpL'E | 02/08/2014
Je viens de voir que vous avez appartenu au Commando Capdeville en Algerie.
Je cherche des photos de cette unité. En possédez vous? Si celà est possible
évidemment j' aimerais bien en avoir quelques unes. Que ce commando ne
tombe pas dans l' oubli. Dans l' attente de vous lire, et avec mes remerciements
anticipés, je vous prie d' agréer Monsieur l' expression de mes sentiments respec-
tueux.
David Le Bloas.
Écrit par : David Le Bloas | 22/03/2015
Merci pour votre intérêt David. Nous avons fait suivre votre message à Michel et à son fils, en espérant qu'ils puissent aider.
Écrit par : UPpL'E | 22/03/2015
Je veux faire des connaissances avec des militaires qui étaient à méchéria dans le département de Saïda entre 1955 et 1963
Écrit par : mokeddem | 11/03/2016
Hélas sur ce point nous ne pouvons vous aider.
Écrit par : UPpL'E | 11/03/2016
Merci
Écrit par : mokeddem | 25/03/2016
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